Une "Palme d'or", quelques "Oscars" et autres films...
* Mais avant cela, au rayon "Docus TV"...
Sous haute pression, le système Ryanair de Tom Cariou (2024) (0 h 50') ;
> Chez Ryanair, devenir hôtesse de l'air ou steward à 20 ans c'est possible ! Mais à quel prix ? La compagnie, leader dans les vols à bas prix, emploie des milliers de membres d'équipage de toute l'Europe et au-delà. Mais, beaucoup dénoncent les conditions de travail difficiles : pressions sur les ventes, management sévère, silence imposé...
On lira ici la critique de Pauline Demange-Dilasser publiée sur le site de Télérama le 15 mai dernier :
* Ensuite, au rayon "Dessins animés"...
À partir de 8 ans : Ultraman: Rising de Shannon Tindle (2024) (VF + VOSTFR) ;
> Lorsque la ville de Tokyo est menacée par des monstres géants, un athlète de renom rentre chez lui à contrecœur afin d'endosser le rôle d'Ultraman et de devenir un héros légendaire.
On lira ici la critique de Pascale Paoli-Lebailly publiée sur le site de Télérama le 14 mai dernier :
La bande-annonce en VF est ici.
* Passons maintenant au rayon "Films"...
- Avec, pour commencer une "Palme d'or" à Cannes en 1954 et un "Oscar du meilleur film étranger" en 1955 pour Gate of Hell (Les Portes de l'Enfer) de Teinosuke Kinugasa (1953) avec Kazuo Hasegawa, Koreya Senda et Kenjiro Uemura (1 h 29') ;
> Au XIIe siècle, alors que les guerres civiles font rage, le samouraï Moritō est chargé par l'empereur de traverser le territoire afin de distraire l'attention des rebelles. Il doit par la même occasion escorter la jolie servante Kesa. Sa mission accomplie, Moritō demande une récompense impossible: la main d'une femme mariée…
La bande-annonce en VOSTFR est ici.
- Poursuivons, outre Game of Hell présenté ci-dessus, par 4 autres films récompensés par l'oscar du "Meilleur film international"...
- 1968 : Closely Watched Trains (Trains étroitement surveillés) de Jiří Menzel (1966) avec Václav Neckár, Jitka Bendova, Josef Somr et Vlastimil Brodsky (1 h 32') ;
> Miloš travaille dans une petite gare tchèque pendant la Seconde Guerre mondiale. Tourmenté par sa timidité, il n’arrive pas à embrasser la jolie contrôleuse qui pourtant s’offre à lui. Devant cet échec, désespéré de ne pouvoir prouver sa virilité, il tente de se suicider. Une jeune femme issue de la Résistance va tenter de lui faire surmonter ses craintes.
La bande-annonce est ici.
- 1966 : The Shop on Main Street (Le Miroir aux alouettes) de Ján Kadár et Elmar Klos (1965) avec Ida Kamińska, Jozef Króner, Hana Slivková, Martin Hollý, Adám Matejka et František Zvarík (2 h 05') ;
> Dans une petite ville slovaque à l'époque de la première république slovaque, en 1942, les commerces juifs sont tous placés sous gérance « aryenne ». Tono Brtko, menuisier sans fortune, se retrouve à la tête d'un de ces commerces. La propriétaire, la vieille madame Lautmann, n'est pas au courant des nouvelles lois raciales et est sourde. Elle prend Tono pour un nouveau commis. Celui-ci finit par la protéger, tandis que les miliciens paradent.
La bande-annonce est ici.
- 1961 : The Virgin Spring (La Source) d'Ingmar Bergman (1960) avec Max von Sydow, Birgitta Valberg, Gunnel Lindblom, Birgitta Pettersson et Axel Düberg (1 h 30') ;
> Fervents chrétiens, les parents d'une jeune fille de 15 ans est chargée d'apporter des bougies à l'église du village. En chemin, elle est violée et tuée par trois bergers. Ses parents décident alors de se venger.
La bande-annonce est ici.
- 1958 : Le Notti di Cabiria (Les Nuits de Cabiria) de Federico Fellini (1957) avec Giulietta Masima, François Périer, Franca Marzi, Dorain Gray et Amedeo Nazzari (1 h 58') ;
> Cabiria, une petite prostituée romaine, est une gentille fille, assez naïve malgré son dur métier. En dehors de ses clients, les hommes qu'elle rencontre font montre envers elle d'une grande cruauté. Avec une foi inébranlable, Cabiria ne désespère pas de voir tourner sa chance et persiste à chercher l'amour.
La bande-annonce est ici.
- Concluons avec huit films, pas tous indispensables, comme d'habitude...
1. Arthur The King de Simon Cellan Jones (2024) avec Mark Wahlberg, Simu Liu, Juliet Rylance (1 h 47') ;
> Un capitaine d'une équipe suédoise de course d'aventure rencontre un chien errant blessé travers la jungle équatorienne. Il parvient à l'amadouer et l'animal se met à le suivre sur les terrains les plus difficiles de la planète. L'homme souhaite ramener son nouveau partenaire en Suède.
La bande-annonce est ici.
2. Big Eyes de Tim Burton (2014) avec Amy Adams, Christoph Waltz et Danny Huston (1 h 38) ;
> En 1958, Margaret Ulbrich, qui vient de divorcer, s'installe à San Francisco avec sa fille. C'est en tentant de vendre ses toiles non loin de la baie qu'elle attire l'attention de Walter Kean, un peintre exubérant qui la séduit. Alors que le mari de Margaret menace de lui retirer la garde de sa fille, Walter propose à Margaret de l'épouser pour régler la situation. Par ailleurs, intrigué par les portraits réalisés par Margaret, caractérisés par des personnages aux grands yeux, Walter décide de les vendre dans des galeries d'art, en les signant de son nom.
La bande-annonce est ici.
3. Capricorn One de Peter Hyams (1978) avec Elliott Gould, James Brolin, Brenda Vaccaro, Sam Waterson, O.J. Simpson et Hal Holbrook (1 h 58') ;
> Houston, Texas. Quelques minutes avant le départ d'un vol habité à destination de la planète Mars, les trois astronautes présents dans la fusée sont évacués. Ce vol est une question de prestige pour la NASA et un enjeu électoral pour le président des États-Unis, et nul n'a voulu prendre le risque d'un échec. Aussi, les trois astronautes sont-ils emmenés dans un lieu secret, où ils devront simuler devant des caméras de télévision l'exploration de la planète Mars.
La bande-annonce est ici.
4. Darling (Darling chérie) de John Schlesinger (1965) avec Julie Christie, Laurence Harvey, Dirk Bogarde et José Luis de Vilallonga (2 h 06') ;
> Une femme devenue une célébrité internationale raconte l'échec de sa vie sentimentale a un magazine féminin : un mari insignifiant, un journaliste, un homme d'affaires cynique, puis, devenue comédienne, un prince rencontre sur un plateau. Oscar de la "Meilleure actrice" pour Julie Christie en 1966.
La bande-annonce est ici.
5. Godzilla x Kong: The New Empire d'Adam Wingard (2024) avec Rebecca Hall, Brian Tyree Henry, Dan Stevens (1 h 54') ;
> Le tout-puissant Kong et le redoutable Godzilla unissent leurs forces contre une terrible menace encore secrète qui risque de les anéantir et qui met en danger la survie même de l’espèce humaine. Godzilla x Kong : Le Nouvel Empire remonte à l’origine des deux titans et aux mystères de Skull Island, tout en révélant le combat mythique qui a contribué à façonner ces deux créatures hors du commun et lié leur sort à celui de l’homme pour toujours…
La bande-annonce est ici.
6. L’Arnacœur de Pascal Chaumeil (2010) avec Romain Duris, Vanessa Paradis, Julie Ferrier et François Damiens (1 h 44') ;
> Votre fille sort avec un sale type ? Votre sœur s'est enlisée dans une relation passionnelle destructrice ? Aujourd'hui, il existe une solution radicale, elle s'appelle Alex. Son métier : briseur de couple professionnel. Sa méthode : la séduction. Sa mission : transformer n'importe quel petit ami en ex. Mais Alex a une éthique, il ne s'attaque qu'aux couples dont la femme est malheureuse. Alors pourquoi accepter de briser un couple épanoui de riches trentenaires qui se marie dans une semaine ?
La bande-annonce est ici.
7. Le Rapace de José Giovanni (1968) avec Lino Ventura, Xavier Marc et Rosa Furman (1 h 42') ;
> À Veracruz au Mexique, en 1938, « Le Rital », dit aussi « Le Rapace », fait route à travers ce pays qui n'est pas le sien. C'est un aventurier dépourvu de tout idéal, un tueur à gages désabusé, cynique et brutal. Au terme de moult précautions dans ce pays livré à une police omniprésente et toute puissante, il finit par arriver chez ses commanditaires, un groupe de conjurés qui fomentent un coup d'État.
La bande-annonce est ici.
8. The Black Square (Le Carré noir) de Peter Meister (2021) avec Bernhard Schütz, Sandra Hüller et Jacob Matschenz (1 h 37') ;
> Vincent, un artiste raté, et Nils, son complice, ont volé un tableau abstrait du peintre russe Kasimir Malevich : le célèbre "Carré noir". Ils sont censés remettre leur précieux butin à leurs clients, un oligarque russe et une experte en art, sur un bateau de croisière. Mais pour y accéder, les deux compères sont contraints de changer d'identité et rien ne se passe comme prévu.
La bande-annonce est ici.
@ suivre...
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