Récompensés, en leur temps...
Au rayon "Films"...
Pas encore signalés ici, une série de films ayant été récompensés par une "Palme d'or", par un "Grand Prix" à Cannes ou par un Oscar du "Meilleur film" ou du "Meilleur film international...
* Commençons par deux "Palmes d'or" à Cannes :
1988 : A World Apart (Un monde à part) de Chris Menges avec Jodhi May, Jeroen Krabbé et Barbara Hershey (1 h 53') (VOSTEN) ;
> 1963 à Johannesburg. Molly (Jodhi May), adolescente de 13 ans, ne voit que d'assez loin les abominations générées par le régime ségrégationniste de l’Apartheid, protégée qu'elle est par son milieu de Blancs assez aisé. Mais lorsque son père (Jeroen Krabbé), soupçonné de communisme, est obligé de fuir le pays et que sa mère (Barbara Hershey), journaliste qui lutte pour la liberté et les droits des Noirs, est emprisonnée durant 90 jours comme l’autorise la nouvelle loi à propos de n’importe quel "suspect", la jeune fille commence à prendre conscience de la réalité des injustices et des horreurs commises par le gouvernement sud-africain. Son passage à l’âge adulte ne va pas se faire sans heurts, non seulement chahutée puis ostracisée par ses amies mais également obligée de s’occuper de sa jeune sœur maintenant que ses parents sont "partis"...
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1973 : The Hireling (La Méprise) de Alan Bridges avec Robert Shaw, Sarah Miles, Peter Egan et Caroline Mortimer (1 h 43') (VOSTEN) ;
> L'Angleterre dans les années 20. Dépressive depuis la mort de son mari, lady Franklin quitte la clinique où elle a été soignée. Encore fragile, bien qu'âgée d'une trentaine d'années, elle doit renouer contact avec le monde extérieur. Elle se lie rapidement d'amitié avec Steven Ledbetter, son chauffeur. À plusieurs reprises, il l'emmène en promenade à travers la campagne anglaise. Par son intermédiaire, la jeune femme fait bientôt la connaissance de Cantrip, président du club de boxe local.
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* Poursuivons par trois "Grand Prix" à Cannes...
2006 : Flandres de Bruno Dumont (2006) avec Adélaïde Leroux, Samuel Boidin, Henri Cretel et Jean-Marie Bruweart (1 h 31') ;
> De nos jours, dans les Flandres, Demester et de jeunes gars du pays partent soldats dans un conflit lointain. Amoureux de la jeune Barbe, Demester supportait ses mœurs étranges et ses amants. Attendant les soldats, seule en Flandres, Barbe dépérit. Face à ce conflit, Demester se transforme en guerrier. Tragiquement, la guerre exacerbera les sentiments et les liens de ces deux êtres, les menant aux extrémités de leur condition.
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1995 : Burnt by the Sun (Soleil trompeur) de Nikita Mikhalkov (1994) avec Oleg Menshikov, Nikita Mikhalkov, Ingeborga Dapkunaite et Nadezhda Mikhalkova (2 h 22') ;
> En Union soviétique, pendant l'été 1936, le commandant de l'armée rouge Seguei Petrovitch Kotov, sa femme Marusia et sa fille Nadya profitent de leurs vacances en famille. Un ancien amour de Marusia, disparu depuis 13 ans, refait surface soudainement à la datcha familiale. Il est accueilli chaleureusement, mais il a un programme secret. Il veut arrêter Kotov à cause de son rôle dans une conspiration montée de toute pièce pour assassiner Staline. (+ Oscar du "Meilleur film étranger")
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1967 : I Even Met Happy Gypsies (J'ai mêle rencontré des Tziganes heureux) de Aleksandar Petrović (1967) avec Bekim Fehmiu, Gordana Jovanovic et Bata Živojinović (1 h 22') ;
> De nombreux Tziganes vivent dans la vaste plaine de la Voïvodine, en Serbie, où ils exercent de petits métiers. Vivant de son commerce de plumes d'oie, Bora, jeune et insouciant, se veut libre mais il est marié à une femme plus âgée. Il rencontre Tissa une jeune sauvageonne, et s'éprend d'elle. Mais Mirta, beau-père de Tissa, déjà son rival en affaires, devient aussi son rival en amour. (+ Oscar du "Meilleur film international")
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* Passons maintenant outre-Atlantique avec six Oscars du "Meilleur film"...
1938 : The Life of Emile Zola (La Vie d'Émile Zola) de William Dieterle (1937) avec Paul Muni, Gale Sondergaard, Joseph Schildkraut et Gloria Holden (1 h 56') ;
> Après avoir eu du mal à s'imposer, l'écrivain Émile Zola connaît le succès en écrivant sur le côté peu recommandable de Paris et s'installe dans une vie confortable de la classe supérieure. Cependant, la complaisance de Zola est ébranlée lorsque l'officier juif Alfred Dreyfus est emprisonné pour espionnage. Comprenant que Dreyfus est une victime innocente de l'antisémitisme, Zola rédige avec audace un article de journal exposant la vérité.
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1937 : The Great Ziegfeld de Robert Z. Leonard (1936) avec William Powell, Myrna Loy et Luise Rainer (3 h 06') ;
> L'itinéraire du célèbre producteur américain qui a commencé sa carrière dans le cirque, et qui grâce à son génie de la publicité et sa technique de la scène a créé les shows les plus spectaculaires de Broadway à New York.
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1936 : Mutiny on the Bounty (Les Révoltés du Bounty) de Frank Lloyd (1935) avec Charles Laughton, Clark Gable, Franchot Tone, Herbert Mundin, Dudley Digges et Donald Crisp (2 h 12') ;
> En 1797, le HMS Bounty quitte l’Angleterre sous le commandement du capitaine Bligh à destination de Tahiti via le Cap Horn. Le capitaine Bligh qui ne connaît que la loi de la peur, affame ses hommes et les maltraite. Le lieutenant Fletcher Christian va s’apposer à lui et organiser une mutinerie.
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1934 : Cavalcade de Frank Lloyd (1933) avec Diana Wynyard, Clive Brook et Una O'Connor (1 h 52') ;
> À Londres, à la fin du XIXe siècle. Le riche Robert Maryott, anglais jusqu'au bout des ongles, règne en maître absolu sur sa petite famille, non moins typiquement britannique. Sa très bourgeoise épouse, Jane, tient son rang avec élégance et discrétion. Le fruit de leurs amours, Edward, a un avenir tout tracé, dans la droite ligne d'une éducation stricte. L'Histoire va bousculer cette rigide routine...
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1933 : Grand Hotel d'Edmund Goulding (1932) avec Greta Garbo, John Barrymore, Joan Crawford, Wallace Beery et Lionel Barrymore (1 h 52') ;
> Plusieurs personnages plus ou moins en rupture avec leur monde se retrouvent par hasard au Grand Hôtel de Berlin. Parmi eux, la ballerine Grusinskaya qui soupire encore après ses succès passés et le baron Félix von Gaigern que l’adversité a transforme en voleur. La ballerine s’éprend du voleur...
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1929 : Wings (Les Ailes) de William A. Wellman (1927) avec Clara Bow, Charles Rogers et Richard Arlen (2 h 24') ;
> Jack Powell est un jeune Américain qui ne rêve que d’une chose : s’envoler dans les airs. Sa voisine Mary est follement amoureuse de lui, mais lui préfère la jolie Sylvia… laquelle n’a d’yeux que pour le séduisant David Armstrong. Lorsque la Première Guerre mondiale éclate, les deux garçons décident de s’enrôler dans l’Air Force. De son côté, Mary rejoint la Women’s Motor Corps, espérant retrouver son grand amour parti combattre sur le sol français. D’abord méfiants l’un envers l’autre, Jack et David deviennent bientôt inséparables, unis pour le meilleur comme pour le pire face aux atrocités de la guerre…
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* Et concluons, toujours outre-Atlantique, avec dix-sept Oscars du "Meilleur film international"...
2018 : A Fantastic Woman (Une femme fantastique) de Sebastián Lelio (2017)avec Daniela Vega, Francisco Reyes, Luis Gnecco et Aline Küppenheim (1 h 44') ;
> Orlando partage sa vie avec Marina, sa compagne transgenre, chanteuse dans un cabaret. Pour son anniversaire, il l'invite aux chutes d'Iguazú, l'une des sept merveilles naturelles du monde, situées au Nord de l'Argentine. Cependant, le soir même, Orlando fait un malaise qui lui est fatal. La famille du défunt, mais aussi la police, s'en prennent à Marina...
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2015 : Ida de Pawel Pawlikowski (2014) avec Agata Kulesza, Agata Trzebuchowska et Halina Skoczynska (1 h 21') ;
> Dans la Pologne des années 60, avant de prononcer ses vœux, Anna, jeune orpheline élevée au couvent, part à la rencontre de sa tante, seul membre de sa famille encore en vie. Elle découvre alors un sombre secret de famille datant de l'occupation nazie.
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> Rome dans la splendeur de l'été. Les touristes se pressent sur le Janicule : un Japonais s'effondre foudroyé par tant de beauté. Jep Gambardella - un bel homme au charme irrésistible malgré les premiers signes de la vieillesse - jouit des mondanités de la ville. Il est de toutes les soirées et de toutes les fêtes, son esprit fait merveille et sa compagnie recherchée.
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2011 : In a Better World (Revenge) de Suzanne Bier (2010) avec Mikael Persbrandt, Wil Johnson, Eddy Kimani et Emily Mulaya (1 h 58') ;
> Anton est médecin. Il partage son existence entre son foyer installé dans une ville paisible du Danemark, et son travail au sein d'un camp de réfugiés en Afrique. Il est séparé de sa femme, et tous deux songent à divorcer. Leur fils, Elias aîné, âgé d'une dizaine d'années, se fait brutaliser à l'école par certains de ses camarades, jusqu'au jour où un autre garçon, Christian, décide de prendre sa défense.
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2009 : Departures de Yōjirō Takita (2008) avec Masahiro Motoki, Tsutomu Yamazaki et Ryoko Hirosue (2 h 10') ;
> Dans une province rurale du nord du Japon, à Yamagata, où Daigo Kobayashi retourne avec son épouse, après l'éclatement de l'orchestre dans lequel il jouait depuis des années à Tokyo. Daigo répond à une annonce pour un emploi "d'aide aux départs", imaginant avoir affaire à une agence de voyages. L'ancien violoncelliste s'aperçoit qu'il s'agit en réalité d'une entreprise de pompes funèbres, mais accepte l'emploi par nécessité financière. Plongé dans ce monde peu connu, il va découvrir les rites funéraires, tout en cachant à sa femme sa nouvelle activité, en grande partie taboue au Japon.
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2008 : The Counterfeiters (Les Faussaires) de Stefan Ruzowitzky (2007) avec Karl Markovics, August Diehl, Devid Striesow et Martin Brambach (1 h 39').
> Salomon "Sally Sorowitsch", est un faussaire d'exception, arrêté et envoyé en camp de concentration sous le régime nazi. En 1942, il est envoyé dans le camp de Sachsenhausen pour superviser une équipe d'imprimeurs et d'illustrateurs... (Tiré des mémoires d’Adolf Burger)
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2006 : Tsotsi (Mon nom est Tsotsi) de Gavin Hood (2005) avec Presley Chweneyagae, Mothusi Magano et Israel Matseke-Zulu (1 h 34') ;
> Dans un bidonville aux abords de Johannesburg, en Afrique du Sud, un jeune homme de 19 ans orphelin a occulté tout souvenir de son passé, jusqu'à son propre nom. Il s'appelle donc Tsotsi, qui signifie voyou, gangster dans le jargon des ghettos. Sans nom, sans passé, sans ambition, il n'existe que dans un présent plein de colère.
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1998 : Karakter de Mike van Diem (1997) avec Jan Decleir, Fedja van Huêt, Betty Schuurman et Tamar van den Dop (2 h 04') (VOSTEN) ;
> À Rotterdam, dans les années 1920, Jacob Katadreuffe vit avec sa mère, Joba, dans une grande pauvreté. Son père, Dreverhaven, un notable que sa mère a toujours refusé d'épouser, ne fait rien pour faciliter l'existence de son fils, bien au contraire. Malgré les difficultés, Jacob se montre avide de connaissance, et met tout en œuvre pour réaliser son rêve, devenir avocat.
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1996 : Antonia's Line (Antonia et ses filles) de Marleen Gorris (1995) avec Willeke van Ammelrooy, Els Dottermans, Dora van der Groen et Veerle van Overloop (1 h 42') (VOSTEN) ;
> Dans une petite ferme de la campagne hollandaise, Antonia, vieille dame de 90 ans, entame sa dernière journée. Par sa façon d'être, son comportement entier et excentrique, Antonia a révolutionné le village. Mais, peu à peu, les rancœurs et les préjugés se sont éteints et Antonia laisse le flambeau à ses filles.
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1995 : Burnt by the Sun (Soleil trompeur) de Nikita Mikhalkov (1994) avec Oleg Menshikov, Nikita Mikhalkov, Ingeborga Dapkunaite et Nadezhda Mikhalkova (2 h 22') ;
> En Union soviétique, pendant l'été 1936, le commandant de l'armée rouge Seguei Petrovitch Kotov, sa femme Marusia et sa fille Nadya profitent de leurs vacances en famille. Un ancien amour de Marusia, disparu depuis 13 ans, refait surface soudainement à la datcha familiale. Il est accueilli chaleureusement, mais il a un programme secret. Il veut arrêter Kotov à cause de son rôle dans une conspiration montée de toute pièce pour assassiner Staline.
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> Espagne, février 1931. À la chute de la dictature monarchique de Primo de Rivera, Fernando, un soldat déserteur acquis à la cause républicaine, trouve refuge chez Don Manolo, un peintre anarchiste vivant dans une ferme isolée. Comptant repartir le lendemain, il change d'avis lorsque les quatre ravissantes filles de Manolo, Rocío, Violeta, Clara et Luz, arrivent de Madrid. Un jeu de séduction débute alors, Fernando tombant tour à tour amoureux de chacune d'entre elles.
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1993 : Indochine de Régis Wargnier (1992) avec Catherine Deneuve, Vincent Perez, Linh Dan Pham et Jean Yanne (2 h 38') ;
> Saïgon, 1930. Éliane Devries dirige une gigantesque plantation d’arbres à caoutchouc. Tout son amour est voué à sa fille adoptive, Camille, jeune princesse vietnamienne. Un bel officier français, Jean-Baptiste Le Guen, va bouleverser leurs vies. Lorsqu’il est exilé dans les îlots lointains, Camille part à sa recherche. Elle découvrira alors son propre pays, fait de passion, de violence et de mort. Une fois réunis, les deux amants embrassent la cause du nationalisme vietnamien…
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1987 : Babette's Feast (Le Festin de Babette) de Gabriel Axel (1987) avec Stéphane Audran, Bodil Kjer, Birgitte Federspiel et Jarl Kulle (1 h 43') ;
> Pour échapper à la sordide répression de la Commune en 1871, Babette débarque un soir d'orage sur la côte sauvage du Jutland au Danemark. Elle devient la domestique des deux très puritaines filles du pasteur et s'intègre facilement dans l'austère petite communauté. Mais après quatorze années d'exil, elle reçoit des fonds inespérés qui vont lui permettre de rentrer dans sa patrie. Elle propose avant son départ de préparer avec cet argent un dîner français pour fêter dignement le centième anniversaire de la naissance du défunt pasteur...
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1985 : La Diagonale du fou de Richard Dembo (1984) avec Michel Piccoli, Liv Ulmann, Alexandre Arbatt et Leslie Caron (1 h 40') ;
> 1983, Genève : Championnat du monde d'échecs où vont s'affronter Akiva Liebskind, 52 ans, moscovite, champion du monde d'échecs, invaincu depuis 12 ans et Pavius Fromm, 35 ans, passé à l'Ouest depuis 5 ans ; le lion et le tigre, le maître et l'élève, le soviétique et le dissident. Deux personnages durs, forts, entiers. Une compétition haletante. Le face-à-face de deux hommes, l'opposition de deux forces qui s'affrontent sur l'échiquier du monde.
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1982 : Mephisto de István Szabó (1981) avec Klaus Maria Brandauer, Ildikó Bánsági, Krystyna Janda et Rolf Hoppe (2 h 25') ;
> Dans l'Allemagne des années 30, Hendrik Hoefgen, acteur ambitieux, ne se soucie que très peu des problèmes politiques de son pays et ne vit que pour sa carrière artistique. Lorsque les nazis prennent le pouvoir, il saisit l'opportunité de jouer des pièces pour la propagande du parti et devient très rapidement le comédien le plus populaire d'Allemagne...
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1981 : Moscow Does Not Believe in Tears (Moscou ne croit pas aux larmes) de Vladimir Menshov (1980) avec Vera Alentova, Alekeï Batalov, Irina Mouraviera et Raïssa Riazanova (2 h 28') ;
> Trois filles, Katia, Lioudmila et Antonina, rêvent de conquérir les Moscovites. Alors que Katia doit garder la luxueuse résidence de son oncle, Lioudmila et Katia, bien que résidentes d'un foyer et travaillant à l'usine, décident de se faire passer pour des bourgeoises. Leur objectif est d'inviter des intellectuels et des célébrités à dîner afin de trouver un mari. Jusqu'où sont-elles prêtes à aller ?
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1974 : La Nuit américaine de François Truffaut (1973) avec Jacqueline Bisset, Jean-Pierre Léaud, Valentina Cortese, Dani, Jean-Pierre Aumont, Alexandra Stewart, Jean Champion et François Truffaut (1 h 56') ;
> Les studios de la Victorine à Nice sont en pleine ébullition, Ferrand réalise son nouveau film coproduit avec Hollywood : "Je vous présente Paméla." Le tournage commencé dans l'enthousiasme va très vite être parsemé d'embûches.
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@ suivre...
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